Project Description

Dance: Lorenza Di Calogero

Sound & Filmmaking: Blas Payri

Cameras: Rafel Arnal & Blas Payri

Voice: Christine Rheys

EN: Paysage enseveli (translatable as «Shrouded landscape») is a work that I have been developing for some years, to explore the concept of Leitmotiv in the visual medium. It is divided in 12 movements (scenes) that reflect an ambience or a feeling of the main character, a woman whose inner voice leads us through the different movements.
First, the soundtrack has been built, using sound leitmotivs linked to the voice of the character (humming, laughter, whisper) or to external sources (bells, drone). The image has been built using also the leitmotiv approach, where each visual element is related to an idea or a feeling: the woods symbolize the leitmotiv of the social oppression, the sea/water as the leitmotiv of destruction, the wandering/walking of the character as the leitmotiv of the search for a meaning, the body position (laying down, crouching) as the mood of the character.

The text excerpts have been adapted from the novel Thérèse Desqueyroux (1927) by François Mauriac, selecting the passages for their poetic rather than narrative content.

——-

FR: Il s’agit d’une ciné-danse qui se base sur des extraits du roman Thérèse Desqueyroux de François Mauriac, choisis pour leur valeur poétique, soit par la description du paysage environnant, soit par l’évocation d’états psychologiques et les sentiments du personnage de Thérèse. La structure se compose ainsi de courts chapitres ou tableaux, en suivant une progression psychologique. Le texte vient à travers d’une voix de femme, en forme de voix intérieure du personnage de Thérèse, et en plus de convoyer le sens, le traitement du texte parlé sert aussi à créer des rythmes et des éléments musicaux. Ce film se base uniquement sur le personnage de Thérèse et son ressenti subjectif, en n’utilisant que l’image et la voix d’une femme.

L’image, aussi bien que les éléments sonores, se base en une sorte de «leitmotifs» visuels et sonores. Les éléments de l’image prennent donc un sens métaphorique: la forêt comme symbole (leitmotif) de l’oppression sociale/familiale, le mur comme symbole de l’enfermement dans un monde imaginaire, la mer comme symbole de l’anéantissement. Egalement, le traitement de l’image avec le montage sert à créer des éléments symboliques comme l’apparition/disparition du personnage à l’écran, la continuité de l’image ou la succession rapide de plans visuels qui répondent aux états psychologiques de Thérèse.

 

ES: Esta obra que une videodanza, videoperformance y cine experimental es un estudio sobre la utilización del concepto de Leitmotiv en el medio visual. Los elementos sonoros y visuales de la obra simbolizan situaciones y estados del personaje (bailarina Lorenza Di Calogero).

La obra audiovisual se basa en una obra sonora que había realizado previamente, con un oratorio acusmático utilizando fragmentos de la novela Thérèse Desqueyroux de François Mauriac. Con la voz de Christine Rheys.

  • 1 Prélude                 inconnue                                                     0:50
  • 2 Interlude              le silence d’Argelouse                             0:38
  • 3 Séquence              la famille !                                                  3:33
  • 4 Interlude              cette plainte indéfinie des cimes        0:33
  • 5 Séquence              ce corps contre son corps …                3:04
  • 6 Interlude              la dernière nuit d’octobre                      0:57
  • 7 Séquence              acharnement                                             2:54
  • 8 Interlude              pluie                                                                1:16
  • 9 Séquence              le bonheur n’existe pas                           2:21
  • 10 Interlude            inconnue                                                       0:50
  • 11 Séquence            campagne trempée d’aurore               1:30
  • 12 Interlude             solitude                                                         0:19
  • 13 Séquence            le froid de la nuit                                        3:30

En esta obra, he querido desarrollar una construcción basada en leitmotive. Aunque en la música instrumental el concepto de tema y de variación del tema, basado sobre motivos melódicos y rítmicos, está bien establecido, no es así en el lenguaje electroacústico. Se han creado teorías y herramientas de tratamiento del sonido para delimitar y crear una oposición entre permanencia y variación, lo que permitiría la creación de temas y sus avatares. Sin embargo, estas transformaciones no son bien percibidas e interpretadas por el público, ni siquiera el público sagaz. Mi intención ha sido, pues, desarrollar unas oposiciones claramente perceptibles y, para ello, he utilizado la fuente del sonido. Los temas se distinguen por su procedencia humana o no, y por la oposición entre fuente reconocible y sonido abstracto.

Así como la obra opone Thérèse a su entorno, los leitmotive se dividen en dos grupos, según provengan de la voz de Thérèse (suspiros, risas y canto a voz baja) o sean materiales exteriores (campanas, sostenuto grave o coros). El leitmotiv de la melancolía de Thérèse, muy presente en el preludio y los interludios, es un canto en voz baja, ensimismado, con la voz de Thérèse; son breves notas que pueden convertirse en canción de cuna. De carácter diferente, el leitmotiv de la rebelión de Thérèse, realizado con su risa, se opone a los otros leitmotive en las secuencias “la famille” o “le bonheur n’existe pas”.

El leitmotiv de la opresión es un gran sostenuto grave, que va invadiendo todo el espectro, lentamente. Utilizando el mismo material, el leitmotiv de la desesperación es un gran sostenuto descendiente, más alejado. El leitmotiv de la autodestrucción lo forman sonidos de campanillas y grandes tañidos de campanas de catedral. El leitmotiv del deseo, presente en la secuencia “ce corps contre son corps”, utiliza los suspiros y susurros de Thérèse, mientras que el leitmotiv de las voces distantes utiliza voces borrosas, anegadas en la reverberación.

Alternative and previous versions

Prueba movimiento 2 – Leitmotiv del árbol-reja y de la errancia

Prueba previa movimiento 2 – Leitmotiv del árbol-reja y de la errancia

3 Interlude « cette plainte indéfinie des cimes »

¡Cuántas horas permanecía tumbada, sin que la liberase el sueño! El silencio de Argelouse le impedía dormir: prefería las noches de viento, ese lamento indefinido de las cimas entraña una dulzura humana. Thérèse se abandonaba a ese arrullo. Las noches turbadas del equinoccio la adormecían mejor que las noches tranquilas.

« Combien d’heures demeurait-elle étendue, sans que la délivrât le sommeil ! Le silence d’Argelouse l’empêchait de dormir : elle préférait les nuits de vent, cette plainte indéfinie des cimes recèle une douceur humaine. Thérèse s’abandonnait à ce bercement. Les nuits troublées de l’équinoxe l’endormaient mieux que les nuits calmes »

Versión del tema del caminar + bosque

4 Séquence « ce corps contre son corps »

Un ser estaba en su vida, gracias a quien todo lo demás le parecía insignificante; alguien que nadie en su círculo conocía; una criatura muy humilde, muy oscura; pero toda la existencia de Thérèse giraba alrededor de ese sol visible para su sola mirada, y cuyo calor su carne sola conocía. Ese cuerpo junto a su cuerpo, tan ligero como fuese, le impedía respirar; pero prefería perder el aliento que alejarlo. Se levanta, descalza; abre la ventana; la tinieblas no están frías; ¿pero cómo imaginar que pueda un día pueda dejar de llover? (y Thérèse hace el gesto de un abrazo, y con su mano derecha estrecha su hombro izquierdo – y las uñas de su mano izquierda se hunden en su hombro derecho.)

Luego el decorado se deshacía, se volvía menos preciso, y sólo quedaba una enramada, un banco frente al mar. Thérèse, sentada, descansaba su cabeza sobre un hombro, se levantaba al llamar la campana para la comida, entraba en una enramada negra y alguien andaba a su lado que súbitamente la rodeaba con ambos brazos, la atraía. Un beso, cavila, debe de parar el tiempo; imagina que existen en el amor segundos infinitos. Lo imagina, nunca lo sabrá.

« Elle essayait de retrouver ses imaginations nocturnes ; au reste, il n’y avait guère plus de bruit dans Argelouse, et l’après midi n’était guère moins sombre que la nuit. En ces jours les plus courts de l’année, la pluie épaisse unifie le temps, confond les heures ; un crépuscule rejoint l’autre dans le silence immuable. Mais Thérèse était sans désir de sommeil et ses songes en devenaient plus précis ; avec méthode, elle cherchait, dans son passé, des visages oubliés, des bouches qu’elle avait chéries de loin, des corps indistincts que des rencontres fortuites avaient rapprochés de son corps innocent. »

« Un être était dans sa vie grâce auquel tout le reste du monde lui paraissait insignifiant ; quelqu’un que personne de son cercle ne connaissait ; une créature très humble, très obscure ; mais toute l’existence de Thérèse tournait autour de ce soleil visible pour son seul regard, et dont sa chair seule connaissait la chaleur. Ce corps contre son corps, aussi léger qu’il fût, l’empêchait de respirer ; mais elle aimait mieux perdre le souffle que l’éloigner Elle se lève, pieds nus ; ouvre la fenêtre ; les ténèbres ne sont pas froides ; mais comment imaginer qu’il puisse un jour ne plus pleuvoir ? (et Thérèse fait le geste d’étreindre, et de sa main droite serre son épaule gauche – et les ongles de sa main gauche s’enfoncent dans son épaule droite.)»

« Puis le décor se défaisait, devenait moins précis, et il ne restait qu’une charmille, un banc devant la mer. Thérèse, assise, reposait sa tête contre une épaule, se levait à l’appel de la cloche pour le repas, entrait dans la charmille noire et quelqu’un marchait à ses côtés qui soudain l’entourait des deux bras, l’attirait. Un baiser, songe-t-elle, doit arrêter le temps ; elle imagine qu’il existe dans l’amour des secondes infinies. Elle l’imagine, elle ne le saura jamais. »

Prueba en el muro del monasterio del Puig. Tema del caminar, y tema del recroquevillement. Tema de la agitación ante la pared.

5 Interlude « la dernière nuit d’octobre »

La última noche de octubre, un viento furioso, venido del Atlántico, atormentó largamente las cimas, y Thérèse, medio dormida, seguía atenta a este ruido de océano. Pero en la madrugada, no la despertó la misma queja. Empujó los postigos, y la habitación siguió oscura; una lluvia diminuta, apretada, se escurría por las tejas de las dependencias, por las hojas aún espesas de las encinas.

El primer día de mal tiempo… ¿Cuántos tendría que vivir en el rincón de esta chimenea donde el fuego se moría? En las esquinas el moho despegaba el papel.

« La dernière nuit d’octobre, un vent furieux, venu de l’Atlantique, tourmenta longuement les cimes, et Thérèse, dans un demi-sommeil, demeurait attentive à ce bruit d’océan. Mais au petit jour, ce ne fut pas la même plainte qui l’éveilla. Elle poussa les volets, et la chambre demeura sombre ; une pluie menue, serrée, ruisselait sur les tuiles des communs, sur les feuilles encore épaisses des chênes. »

« Le premier jour de mauvais temps … Combien devrait-elle en vivre au coin de cette cheminée où le feu mourait ? Dans les angles la moisissure détachait le papier. »

Tema de la errancia, del desaparecer, del mar-destrucción

Tema de la errancia en la oscuridad, de la autodestrucción

Séquence 6 «acharnement»

 

7 Interlude «Une pluie menue»

Séquence « le bonheur n’existe pas »

Si Bernard hubiese entrado en aquel minuto en la habitación, hubiese advertido que aquella mujer sentada en la cama no era su mujer, sino un ser desconocido de él, una criatura extranjera y sin nombre. Tiró su cigarrillo, desgarró un segundo sobre.

“Ella conoce esa felicidad … ¿y yo qué? ¿y yo? ¿porqué yo no?”

entonces desgarró el primer sobre. No, no; no era esa niñita de colegio de monjas con mente corta la que había inventado esas palabras de fuego. De ese corazón seco – ¡porque lo tenía seco: no lo iba a saber Thérèse! — no podían haber brotado ese cantar de los cantares, ese largo gemido de mujer posesa, de carne casi muerta de felicidad, al primer arrimo.

Thérèse abrió la ventana, desmenuzó las cartas, asomada al abismo de piedra que sólo una carreta, en aquella hora de madrugada, hacía retumbar. Los fragmentos de papel se arremolinaban, se posaban en los balcones de los pisos inferiores. El olor vegetal que respiraba la joven, qué campo lo enviaba hasta este desierto de asfalto. Imaginaba la tacha de su cuerpo como papilla en la calzada – y alrededor ese tumulto de guardias, de merodeadores. Demasiada imaginación para matarte Thérèse. En verdad, no deseaba morir; un trabajo urgente la llamaba, no de venganza ni de odio: pero esa tontainas, allí, en Saint Clair, que se creía que la felicidad era posible, tenía que saber, como Thérèse, que la felicidad no existe. Si no poseen nada más en común, por lo menos esto: el aburrimiento, la ausencia de tareas nobles, de todo deber superior, la imposibilidad de esperar más que los viles hábitos cotidianos, — un aislamiento sin consuelos.

« Si Bernard était rentré à cette minute dans la chambre, il se fût aperçu que cette femme assise sur le lit n’était pas sa femme, mais un être inconnu de lui, une créature étrangère et sans nom. Elle jeta sa cigarette, déchira une seconde enveloppe. »

“Elle connaît cette joie … et moi, alors ? et moi ? pourquoi pas moi ?”

« puis elle avait déchiré la première enveloppe. Non, non ; ce n’était pas cette couventine à l’esprit court qui avait inventé ces paroles de feu. Ce ne pouvait être de ce cœur sec – car elle avait le cœur sec : Thérèse le savait peut-être ! – qu’avait jailli ce cantique des cantiques, cette longue plainte heureuse d’une femme possédée, d’une chair presque morte de joie, dès la première atteinte »

« Thérèse ouvrit la croisée, déchira les lettres en menus morceaux, penchée sur le gouffre de pierre qu’un seul tombereau, à cette heure avant l’aube, faisait retentir. Les fragments de papier tourbillonnaient, se posaient sur les balcons des étages inférieurs. L’odeur végétale que respirait la jeune femme, quelle campagne l’envoyait jusqu’à ce désert de bitume. Elle imaginait la tâche de son corps en bouillie sur la chaussée – et alentour ce remous d’agents, de rôdeurs. Trop d’imagination pour te tuer Thérèse. Au vrai, elle ne souhaitait pas de mourir ; un travail urgent l’appelait, non de vengeance ni de haine : mais cette petite idiote, là-bas, à Saint-Clair, qui croyait le bonheur possible, il fallait qu’elle sût, comme Thérèse, que le bonheur n’existait pas. Si elles ne possèdent rien d’autre en commun, qu’elles aient au moins cela : l’ennui, l’absence de toute tâche haute, de tout devoir supérieur, l’impossibilité de rien attendre que les basses habitudes quotidiennes, – un isolement sans consolations. »

Temas de la inversión-frustración, del mar-destrucción, y de la errancia (sin silla)

 

9 Interlude « inconnue »

Y de súbito se despertó en ella el rostro desconocido de Julie Bellade, su abuela materna – desconocido: se hubiese buscado en vano en casa de los Larroque o de los Desqueyroux un retrato, un daguerrotipo, una fotografía de aquella mujer de la que nadie sabía nada, tan sólo que se marchó un día. Thérèse imagina que así podría haber sido ella borrada, aniquilada.

« et soudain s’éveilla en elle le visage inconnu de Julie Bellade, sa grand-mère maternelle -inconnu : on eût cherché vainement chez les Larroque ou chez les Desqueyroux un portrait, un daguerréotype, une photographie de cette femme dont nul ne savait rien, sinon qu’elle était partie un jour. Thérèse imagine qu’elle aurait pu être ainsi effacée, anéantie. »

 

8 Séquence « campagne trempée d’aurore »

La ventana estaba abierta; los gallos parecían desgarrar la niebla cuyos jirones diáfanos retenían los pinos en sus ramas. Campo empapado de aurora. ¿Cómo renunciar a tanta luz? ¿Qué es la muerte? No se sabe lo que es la muerte. Thérèse no está asegurada de la nada. Thérèse no esta absolutamente segura de que no haya nadie. Thérèse se odia por sentir tamaño terror. Ella que no dudaba en precipitar a otro, se encabrita ante la nada.

« La fenêtre était ouverte ; les coqs semblaient déchirer le brouillard dont les pins retenaient dans leurs branches des lambeaux diaphanes. Campagne trempée d’aurore. Comment renoncer à tant de lumière ? Qu’est-ce que la mort ? On ne sait pas ce qu’est la mort. Thérèse n’est pas assurée du néant. Thérèse n’est pas absolument sûre qu’il n’y ait personne. Thérèse se hait de ressentir une telle terreur. Elle qui n’hésitait pas à y précipiter autrui, se cabre devant le néant. »

Interlude “solitude”

Thérèse ya no temía la soledad. Bastaba con que se quedase inmóvil: igual que su cuerpo, tumbado en el páramo del Sur, habría atraído a las hormigas, a los perros, aquí presentía ya entorno a su carne una agitación oscura, un tumulto.

Thérèse ne redoutait plus la solitude. Il suffisait qu’elle démeurât immobile: comme son corps, étendu dans la lande du Midi, eût attiré les fourmis, les chiens, ici elle pressentait déjà autour de sa chair une agitation obscure, un remous.

Tema de la errancia

 

Postlude « le froid de la nuit »

Balionte sin duda se había olvidado de cerrar bien la ventana: una ráfaga de viento la abrió, y el frío de la noche llenó la habitación. Thérèse se sentía sin el valor de echar la mantas, para levantarse, para correr, descalza hasta la ventana. Con el cuerpo recogido, la sábana estirada hasta los ojos, se quedaba inmóvil recibiendo sólo en los párpados y en la frente el hálito helado. El inmenso rumor de los pinos llenaba Argelouse, pero a pesar de ese ruido de océano, era tan sólo el silencio de Argelouse. Thérèse meditaba que si le hubiese gustado sufrir, no se hubiera hundido tan profundamente en sus mantas. Intentó quitárselas un poco, sólo pudo quedarse unos segundos expuesta al frío. Luego, lo consiguió durante más tiempo, como jugando. Sin que fuese según una voluntad deliberada, su dolor se convertía también en su ocupación, y ¿quién sabe? en su razón de ser en el mundo.

« Balionte avait sans doute négligé de bien fermer la fenêtre : un coup de vent l’ouvrit, et le froid de la nuit emplit la chambre. Thérèse se sentait sans courage pour rejeter les couvertures, pour se lever, pour courir, pieds nus jusqu’à la croisée. Le corps ramassé, le drap tiré jusqu’aux yeux, elle demeurait immobile ne recevant que sur les paupières et sur son front le souffle glacé. L’immense rumeur des pins remplissait Argelouse. mais en dépit de ce bruit d’océan, c’était tout de même le silence d’Argelouse. Thérèse songeait que si elle eût aimé souffrir, elle ne se fût pas si profondément enfoncée sous ses couvertures. Elle essaya de les repousser un peu, ne put demeurer que quelques secondes exposée au froid. Puis, elle y réussit plus longtemps, comme par jeu. Sans que ce fût selon une volonté délibérée, sa douleur devenait aussi son occupation et – qui sait ? sa raison d’être au monde. »

Temas del mar-destrucción, de la posición inversa-frustración.